Tajfel et Turner reconnaissent que ces formes extrêmes n'apparaissent jamais à l'état pur. Tajfel et Turner complètent toutefois leur théorie en précisant les différentes stratégies concrètes que peut adopter un individu pour acquérir une identité sociale positive. "Revue électronique de Psychologie Sociale","1", 19-33.Rabbie, J. M. et Horwitz, M. (1988). Pour pouvoir répondre à cette question, Tajfel et Turner ont introduit d'autres distinctions liées au concept interpersonnel/intergroupe. Une autre distinction qui permet donc d'expliquer si les gens utilisent plutôt un comportement interpersonnel ou un comportement proche du pôle intergroupe est celui de la Tajfel et Turner postulent que la perception de la structure sociale n'est pas forcément basée sur une réalité tout à fait objective, mais plutôt basée sur En associant les deux continuums décrits auparavant, une personne qui croit en la mobilité sociale a donc tendance à utiliser des comportements et stratégies interindividuels alors qu'une personne croyant au changement social va plutôt opter pour des comportements intergroupes à travers des actions collectives.
Cette tendance, définie comme le biais pro-endogroupe, apparait ainsi comme la composante principale d'un conflit intergroupe, que Sherif attribuait à l'existence d'une compétition autour de ressources matérielles. Précisément, le fait que l’exogroupe soit perçu comme agissant envers les individus de la foule (l’endogroupe) comme s’ils étaient tous semblables conduit ces derniers à se définir eux-mêmes en une catégorie inclusive.
Groups give us a sense of social identity: a sense of belonging to the social world. En s'appuyant sur les limites de l'étude de Sherif, Tajfel et Turner ont donc précisé les processus menant à l'adoption d'un comportement intergroupe, par opposition à un comportement interpersonnel.
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According to social identity theory, group members may experience different kinds of identity threats. Turner aimerait savoir, dans quelles circonstances un individu est capable de se comporter comme membre d’un groupe. Leurs résultats concordent avec les présupposés du modèle élaboré de l’identité socialeEnsuite, le fait que la police intervienne et tente d’exclure des participants a engendré un sentiment d’injustice commun parmi les différents sous-groupes présentsEnfin, les manifestants rapportent s’être sentis de plus en plus puissants à mesure que l’événement se déroulait, et plus aptes à adopter des comportements qu’ils n’auraient pas adopté autrementUtilisant le même modèle, Stott, Hutchinson et Drury se sont intéressés aux incidents survenus lors de la coupe du monde en France en 1998.
That finding deviated from a common view at the time, namely, that an objective conflict of interest is a central factor in the emergence of intergroup conflict.Later elaborations by Tajfel’s student John Turner and his colleagues on the cognitive factors relevant to social identification further specified how people interpret their own position in different social Social identity theory was developed to explain how individuals create and define their place in society. Dans ce paradigme, les participants, qui ne se connaissent pas, sont aléatoirement répartis en deux groupes. In what has become known as the "self-esteem hypothesis", self-esteem is predicted to relate to in-group bias in two ways. Néanmoins, situer les comportements sociaux sur un continuum interpersonnel-intergroupe permet de considérer les caractéristiques personnelles et groupales comme deux facteurs susceptibles d'influencer une interaction entre individus, de telle sorte qu'elle se rapprochera plus ou moins de l'un des deux pôlesTajfel et Turner proposent ensuite de déterminer les conditions nécessaires à l'adoption de l'une ou l'autre forme de Ainsi, dans l'expérience de Sherif décrite plus haut, l'instauration d'une compétition créait un conflit, qui générait chez les participants des comportements beaucoup plus proches du pôle intergroupe qu'interpersonnel. The tendency to favour one’s in-groups over relevant out-groups can affect the distribution of material resources or outcomes between in-group and out-group members, the evaluation of in-group versus out-group products, The motivation to establish a positive social identity is thought to lie at the root of intergroup conflict, as members of disadvantaged groups strive for improvement of their group’s position and social standing and members of advantaged groups aim to protect and maintain their privileged position.The two belief systems, in turn, determine what people are most likely to do when they pursue a more positive social identity. Thus, while one’s According to social identity theory, social behaviour is determined by the character and motivations of the person as an individual (interpersonal behaviour) as well as by the person’s group membership (i.e., intergroup behaviour).People generally prefer to maintain a positive image of the groups to which they belong.
(2001).
Nevertheless, it has been demonstrated that these strategies can constitute a first step toward the achievement of
A theory of social categorization based on the concept of social identity, the part of the self-concept that derives from group membership. Les concepts mis évidence par Tajfel et Turner ont ainsi été intégrés dans de nouveaux modèles et théories afin d’expliquer par exemple des comportements de foule tels que les émeutes et le hooliganisme. Reicher, S., Cassidy, C., Wolpert, I., Hopkins, N., et Levine, M. 2006. ThoughtCo uses cookies to provide you with a great user experience.
Social identity theory proposes that people are motivated to achieve and maintain positive concepts of themselves.
(2001). Après cette répartition, il est demandé à chacun d’eux de donner leur première impression des membres de leur groupe et des membres de l’autre groupe. Social identity can be defined as an individual’s knowledge of belonging to certain social groups, together with some emotional and valuational significance of that group membership.